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Верлен Поль - Oeuvres complètes de Paul Verlaine, Vol. 1, Страница 14

Верлен Поль - Oeuvres complètes de Paul Verlaine, Vol. 1


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dis il ne reste
   Plus qu'un bourreau qu'on paie et qu'on moleste
   Si bien qu'enfin la cause de l'Enfer
   S'en va tombant comme un fleuve à la mer,
   Au sein de l'alliance primitive.
   Il ne faut pas que cette honte arrive.
   Mais lui, don Juan, n'est pas mort et se sent
   Le coeur vif comme un coeur d'adolescent
   Et dans sa tête une jeune pensêe
   Couve et nourrit une force amassêe;
   S'il est damnê, c'est qu'il le voulut bien,
   Il avait tout pour être un bon chrêtien,
   La foi, l'ardeur au ciel, et le baptême,
   Et ce dêsir de voluptê lui-même,
   Mais s'êtant dêcouvert meilleur que Dieu,
   Il rêsolut de se mettre en son lieu.
   A cet effet, pour asservir les âmes
   Il rendit siens d'abord les coeurs des femmes.
   Toutes pour lui laissèrent là Jêsus,
   Et son orgueil jaloux monta dessus
   Comme un vainqueur foule un champ de bataille.
   Seule la mort pouvait être à sa taille
   Il l'insulta, la dêfit. C'est alors
   Qu'il vint à Dieu sans peur et sans remords
   Il vint à Dieu, lui parla face à face
   Sans qu'un instant hêsitât son audace.
   Le dêfiant, Lui, son Fils et ses saints?
   L'affreux combat! Très calme et les reins ceints
   D'impiêtê cynique et de blasphème,
   Ayant volê son verbe à Jêsus même,
   Il voyagea, funeste pèlerin,
   Prêchant en chaire et chantant au lutrin,
   Et le torrent amer de sa doctrine,
   Parallèle à la parole divine,
   Troublait la paix des simples et noyait
   Toute croyance, et, grossi, s'enfuyait.
   Il enseignait: "Juste, prends patience.
   Ton heure est proche. Et mets ta confiance
   En ton bon coeur. Sois vigilant pourtant,
   Et ton salut en sera sûr d'autant.
   Femmes, aimez vos maris et les vôtres
   Sans cependant abandonner les autres...
   L'amour est un dans tous et tous dans un,
   Afin qu'alors que tombe le soir brun
   L'ange des nuits n'abrite sous ses ailes
   Que coeurs mi-clos dans la paix fraternelle."
   Au mendiant errant dans la forêt
   Il ne donnait un sol que s'il jurait.
   Il ajoutait: "De ce que l'on invoque
   Le nom de Dieu celui-ci ne s'en choque,
   Bien au contraire, et tout est pour le mieux.
   Tiens, prends, et bois à ma santê, bon vieux."
   Puis il disait: "Celui-là prêvarique
   Qui de sa chair faisant une bourrique
   La subordonne au soin de son salut
   Et lui dêsigne un trop servile but.
   La chair est sainte! Il faut qu'on la vênère.
   C'est notre fille, enfants, et notre mère,
   Et c'est la fleur du jardin d'ici-bas!
   Malheur à ceux qui ne l'adorent pas!
   Car, non contents de renier leur être,
   Ils s'en vont reniant le divin maître,
   Jêsus fait chair qui mourut sur la croix,
   Jêsus fait chair qui de sa douce voix
   Ouvrait le coeur de la Samaritaine,
   Jêsus fait chair qu'aima Madeleine!"
   A ce blasphème effroyable, voilà
   Que le ciel de tênèbres se voila.
   Et que la mer entre-choqua les îles.
   On vit errer des formes dans les villes,
   Les mains des morts sortirent des cercueils,
   Ce ne fut plus que terreurs et que deuils.
   Et Dieu voulant venger l'injure affreuse
   Prit sa foudre en sa droite furieuse
   Et maudissant don Juan, lui jeta bas
   Son corps mortel, mais son âme, non pas!
   Non pas son âme, on l'allait voir! Et pâle
   De mâle joie et d'audace infernale,
   Le grand damnê, royal sous ses haillons,
   Promène autour son oeil plein de rayons,
   Et crie: "A moi l'Enfer! ô vous qui fûtes
   Par moi guidês en vos sublimes chutes,
   Disciples de don Juan, reconnaissez
   Ici la voix qui vous a redressês.
   Satan est mort, Dieu mourra dans la fête,
   Aux armes pour la suprême conquête!
   "Apprêtez-vous, vieillards et nouveau-nês,
   C'est le grand jour pour le tour des damnês."
   Il dit. L'êcho frêmit et va rêpandre
   L'appel altier, et don Juan croit entendre
   Un grand frêmissement de tous côtês.
   Ses ordres sont à coup sûr êcoutês:
   Le bruit s'accroît des clameurs de victoire,
   Disant son nom et racontant sa gloire.
   "A nous deux, Dieu stupide, maintenant!"
   Et don Juan a foulê d'un pied tonnant
   Le sol qui tremble et la neige glacêe
   Qui semble fondre au feu de sa pensêe...
   Mais le voilà qui devient glace aussi
   Et dans son coeur horriblement transi
   Le sang s'arrête, et son geste se fige.
   Il est statue, il est glace. O prodige
   Vengeur du Commandeur assassinê!
   Tout bruit s'êteint et l'Enfer rêfrênê
   Rentre à jamais dans ses mornes cellules.
   "O les rodomontades ridicules",
   Dit du dehors Quelqu'un qui ricanait,
   "Contes prêvus! farces que l'on connaît!
   Morgue espagnole et fougue italienne!
   Don Juan, faut-il afin qu'il t'en souvienne,
   Que ce vieux Diable, encor que radoteur,
   Ainsi te prenne en dêlit de candeur?
   Il est êcrit de ne tenter... personne.
   L'Enfer ni ne se prend ni ne se donne.
   Mais avant tout, ami, retiens ce point:
   On est le Diable, on ne le devient point."
  
   AMOUREUSE DU DIABLE
   A Stêphane Mallarmê.
  
   Il parle italien avec un accent russe.
   Il dit: "Chère, il serait prêcieux que je fusse
   Riche, et seul, tout demain et tout après-demain.
   Mais riche à paver d'or monnayê le chemin
   De L'Enfer, et si seul qu'il vous va falloir prendre
   Sur vous de m'oublier jusqu'à ne plus entendre
   Parler de moi sans vous dire de bonne foi:
   Qu'est-ce que ce monsieur Fêlice? Il vend de quoi?"
   Cela s'adresse à la plus blanche des comtesses.
   Hêlas! toute grandeur, toutes dêlicatesses,
   Coeur d'or, comme l'on dit, âme de diamant,
   Riche, belle, un mari magnifique et charmant
   Qui lui rêalisait toute chose rêvêe,
   Adorêe, adorable, une Heureuse, la Fêe,
   La Reine, aussi la Sainte, elle êtait tout cela,
   Elle avait tout cela.
   Cet homme vint, vola
   Son coeur, son âme, en fit sa maîtresse et sa chose
   Et ce que la voilà dans ce doux peignoir rose
   Avec ses cheveux d'or êpars comme du feu,
   Assise, et ses grands yeux d'azur tristes un peu.
   Ce fut une banale et terrible aventure
   Elle quitta de nuit l'hôtel. Une voiture
   Attendait. Lui dedans. Ils restèrent six mois
   Sans que personne sût où ni comment. Parfois
   On les disait partis à toujours. Le scandale
   Fut affreux. Cette allure êtait par trop brutale
   Aussi pour que le monde ainsi mis au dêfi
   N'eût pas frêmi d'une ire ênorme et poursuivi
   De ses langues les plus agiles l'insensêe.
   Elle, que lui faisait? Toute à cette pensêe,
   Lui, rien que lui, longtemps avant qu'elle s'enfuit,
   Ayant rêalisê son avoir (sept ou huit
   Millions en billets de mille qu'on liasse
   Ne pèsent pas beaucoup et tiennent peu de place).
   Elle avait tassê tout dans un coffret mignon
   Et le jour du dêpart, lorsque son compagnon
   Dont du rhum bu de trop rendait la voix plus tendre
   L'interrogea sur ce colis qu'il voyait pendre
   A son bras qui se lasse, elle rêpondit: "Ça,
   C'est notre bourse."
   O tout ce qui se dêpensa!
   Il n'avait rien que sa beautê problêmatique
   (D'autant pire) et que cet esprit dont il se pique
   Et dont nous parlerons, comme de sa beautê,
   Quand il faudra... Mais quel bourreau d'argent! Prêtê,
   Gagnê, volê! Car il volait à sa manière,
   Excessive, partant respectable en dernière
   Analyse, et d'ailleurs respectêe, et c'êtait
   Prodigieux la vie ênorme qu'il menait
   Quand au bout de six mois ils revinrent.
   Le coffre
   Aux millions (dont plus que quatre) est là qui s'offre
   A sa main. Et pourtant cette fois-une fois
   N'est pas coutume-il a gargarisê sa voix
   Et remplacê son geste ordinaire de prendre
   Sans demander, par ce que nous venons d'entendre.
   Elle s'êtonne avec douceur et dit: "Prends tout
   Si tu veux."
   Il prend tout et sort.
   Un mauvais goût
   Qui n'avait de pareil que sa dêsinvolture
   Semblait pêtrir le fond même de sa nature,
   Et dans ses moindres mots, dans ses moindres clins d'yeux,
   Faisait luire et vibrer comme un charme odieux.
   Ses cheveux noirs êtaient trop bouclês pour un homme
   Ses yeux très grands, très verts, luisaient comme à Sodome.
   Dans sa voix claire et lente, un serpent s'avanèait,
   Et sa tenue êtait de celles que l'on sait:
   Du vernis, du velours, trop de linge, et des bagues.
   D'antêcêdents, il en avait de vraiment vagues
   Ou, pour mieux dire, pas. Il parut un beau soir,
   L'autre hiver, à Paris, sans qu'aucun pût savoir
   D'où venait ce petit monsieur, fort bien du reste
   Dans son genre et dans son outrecuidance leste.
   Il fit rage, eut des duels cêlèbres et causa
   Des morts de femmes par amour dont on causa.
   Comment il vint à bout de la chère comtesse,
   Par quel philtre ce gnome insuffisant qui laisse
   Une odeur de cheval et de femme après lui
   A-t-il fait d'elle cette fille d'aujourd'hui?
   Ah! èa, c'est le secret perpêtuel que berce
   Le sang des dames dans son plus joli commerce,
   A moins que ce ne soit celui du DIABLE aussi.
   Toujours est-il que quand le tour eut rêussi
   Ce fut du propre!
   Absent souvent trois jours sur quatre,
   Il rentrait ivre, assez lâche et vil pour la battre,
   Et quand il voulait bien rester près d'elle un peu,
   Il la martyrisait, en matière de jeu,
   Par êtalage de doctrines impossibles.
   . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
   "Mia, je ne suis pas d'entre les irascibles,
   Je suis le doux par excellence, mais tenez
   Ça m'exaspère, et je le dis à votre nez,
   Quand je vous vois l'oeil blanc et la lèvre pincêe
   Avec je ne sais quoi d'êtroit dans la pensêe
   Parce que je reviens un peu soûl quelquefois.
   Vraiment, en seriez-vous à croire que je bois
   Pour boire, pour licher, comme vous autres chattes,
   Avec vos vins sucrês dans vos verres à pattes
   Et que l'Ivrogne est une forme du Gourmand?
   Alors l'instinct qui vous dit èa ment plaisamment
   Et d'y prêter l'oreille un instant, quel dommage!
   Dites, dans un bon Dieu de bois est-ce l'image
   Que vous voyez et vers qui vos voeux vont monter?
   L'Eucharistie est-elle un pain à cacheter
   Pur et simple, et l'amant d'une femme, si j'ose
   Parler ainsi, consiste-t-il en cette chose
   Unique d'un monsieur qui n'est pas son mari
   Et se voit de ce chef tout spêcial chêri!
   Ah! si je bois, c'est pour me soûler, non pour boire.
   Être soûl, vous ne savez pas quelle victoire
   C'est qu'on remporte sur la vie, et quel don c'est!
   On oublie, on revoit, on ignore et l'on sait;
   C'est des mystères pleins d'aperèus, c'est du rêve
   Qui n'a jamais eu de naissance et ne s'achève
   Pas, et ne se meut pas dans l'essence d'ici;
   C'est une espèce d'autre vie en raccourci,
   Un espoir actuel, un regret qui "rapplique",
   Que sais-je encore? Et quand la rumeur publique.
   Au prêjugê qui hue un homme dans ce cas,
   C'est hideux, parce que bête, et je ne plains pas
   Ceux ou celles qu'il bat à travers son extase,
   O que nenni!
   . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
   Voyons, l'amour, c'est une phrase
   Sous un mot,-avouez, un êcoute-s'il-pleut,
   Un calembour dont un chacun prend ce qu'il veut,
   Un peu de plaisir fin, beaucoup de grosse joie
   Selon le plus ou moins de moyens qu'il emploie,
   Ou, pour mieux dire, au grê de son tempêrament,
   Mais, entre nous, le temps qu'on y perd! Et comment!
   Vrai, c'est honteux que des personnes sêrieuses
   Comme nous deux, avec ces vertus prêcieuses
   Que nous avons, du coeur, de l'esprit,-de l'argent,
   Dans un siècle que l'on peut dire intelligent
   Aillent!..."
   . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
   Ainsi de suite, et sa fade ironie
   N'êpargnait rien de rien dans sa blague infinie.
   Elle êcoutait le tout avec les yeux baissês
   Des coeurs aimants à qui tous torts sont effacês,
   Hêlas!
   L'après-demain et le lendemain se passent.
   Il rentre et dit: "Altro! Que voulez-vous que fassent
   Quatre pauvres petits millions contre un sort?
   Ruinês, ruinês, je vous dis! C'est la mort
   Dans l'âme que je vous le dis."
   Elle frissonne
   Un peu, mais sait que c'est arrivê.
   -"Ça, personne,
   Même vous, diletta, ne me croit assez sot
   Pour demeurer ici dedans le temps d'un saut
   De puce."
   Elle pâlit très fort et frêmit presque,
   Et dit: "Va, je sais tout."-"Alors c'est trop grotesque
   Et vous jouer là sans atouts avec le feu."
   -"Qui dit non?"-"Mais JE SUIS SPÉCIAL à ce jeu."
   -"Mais si je veux, exclame-t-elle, être damnêe?"
   -"C'est diffêrent, arrange ainsi ta destinêe,
   Moi je sors."-"Avec moi!"-"Je ne puis aujourd'hui."
   Il a disparu sans autre trace de lui
   Qu'une odeur de soufre et qu'un aigre êclat de rire.
   Elle tire un petit couteau.
   Le temps de luire
   Et la lame est entrêe à deux lignes du coeur.
   Le temps de dire, en renfonèant l'acier vainqueur;
   "A toi, je t'aime!" et la JUSTICE la recense.
   Elle ne savait pas que l'Enfer c'est l'absence.
  
   TABLE
  
   POÈMES SATURNIENS
  
   PROLOGUE
  
   MELANCHOLIA
   I. Rêsignation.
   II. Nevermore.
   III. Après trois ans.
   IV. Voeu.
   V. Lassitude.
   VI. Mon rêve familier.
   VII. A une femme.
   VIII. L'angoisse.
   EAUX-FORTES
   I. Croquis parisien.
   II. Cauchemar.
   III. Marine.
   IV. Effet de nuit.
   V. Grotesques.
  
   PAYSAGES TRISTES
   I. Soleils couchants.
   II. Crêpuscule du soir mystique.
   III. Promenade sentimentale.
   IV. Nuit de Walpurgis classique.
   V. Chanson d'automne.
   VI. L'heure du berger.
   VII. Le rossignol.
  
   CAPRICES
   I. Femme et chatte.
   II. Jêsuitisme.
   III. La chanson des ingênues.
   IV. Une grande dame.
   V. Monsieur Prudhomme.
  
   INITIUM
   ÇAVITRI
   SUB URBE
   SÉRÉNADE
   UN DAHLIA
   NEVERMORE
   IL BACIO
   DANS LES BOIS
   NOCTURNE PARISIEN
   MARCO
   CÉSAR BORGIA
   LA MORT DE PHILIPPE II
   EPILOGUE
   FÊTES GALANTES
   CLAIR DE LUNE
   PANTOMIME
   SUR L'HERBE
   L'ALLÉE
   A LA PROMENADE
   DANS LA GROTTE
   LES INGÉNUS
   CORTÈGE
   LES COQUILLAGES
   EN PATINANT
   FANTOCHES
   CYTHÈRES
   EN BATEAU
   LE FAUNE
   MANDOLINE
   A CLYMÈNE
   LETTRE
   LES INDOLENTS
   COLOMBINE
   L'AMOUR PAR TERRE
   EN SOURDINE
   COLLOQUE SENTIMENTAL
   LA BONNE CHANSON
   I Le soleil du matin doucement chauffe et dore.
   II Toute grâce et toutes nuances.
   III En robe grise et verte avec des ruches.
   IV Puisque l'aube grandit, puisque voici l'aurore.
   V Avant que tu ne t'en ailles.
   VI La lune blanche.
   VII Le paysage dans le cadre des portières.
   VIII Une sainte en son aurêole.
   IX Son bras droit, dans un geste aimable de douceur.
   X Quinze longs jours encore et plus de six semaines.
   XI La dure êpreuve va finir.
   XII Va, chanson, à tire-d'aile.
   XIII Hier, on parlait de choses et d'autres.
   XIV Le foyer, la lueur êtroite de la lampe.
   XV J'ai presque peur en vêritê.
   XVI Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs.
   XVII N'est-ce pas? en dêpit des sots et des mêchants.
   XVIII Nous sommes en des temps infâmes.
   XIX Donc, ce sera pour un clair jour d'êtê.
   XX J'allais par des chemins perfides.
   XXI L'hiver a cessê: la lumière est tiède.
  
   ROMANCES SANS PAROLES
   I C'est l'extase langoureuse.
   II Je devine, à travers un murmure.
   III Il pleure dans mon coeur.
   IV Il faut, voyez-vous, nous pardonner les choses.
   V Le piano que baise une main frêle.
   VI C'est le chien de Jean Nivelle.
   VII O triste, triste êtait mon âme.
   VIII Dans l'interminable.
   IX L'ombre des arbres dans la rivière embrumêe.
  
   PAYSAGES BELGES
   Walcourt.
   Charleroi.
   Bruxelles (Simples fresques).
   (Chevaux de bois).
   Malines.
  
   BIRDS IN THE NIGHT
  
   AQUARELLES
   Green.
   Spleen.
   Streets.
   Child Wife.
   A poor young shepherd.
   Beams.
  
   SAGESSE
   I. Bon chevalier masquê qui chevauche en silence.
   II. J'avais peinê comme Sisyphe.
   III. Qu'en dis-tu, voyageur, des pays et des gares?
   IV. Malheureux! Tous les dons, la gloire du baptême.
   V. Beautê des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles.
   VI. O vous, comme un qui boite au loin. Chagrins et Joies.
   VII. Les faux beaux jours ont lui tout le jour, ma pauvre âme.
   VIII. La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles.
   IX. Sagesse d'un Louis Racine, je t'envie.
   X. Non. Il fut gallican, ce siècle, et jansêniste.
   XI. Petits amis, qui sûtes nous prouver.
   XII. Or, vous voici promus, petits amis.
   XIII. Prince mort en soldat, à cause de la France.
   XIV. Vous reviendrez bientôt, les bras pleins de pardons.
   XV. On n'offense que Dieu qui seul pardonne.
   XVI. Écoutez la chanson bien douce.
   XVII. Les chères mains qui furent miennes.
   XVIII. Et j'ai revu l'enfant unique: il m'a semblê.
   XIX. Voix de l'Orgueil; un cri puissant comme d'un cor.
   XX. L'ennemi se dêguise en l'Ennui.
   XXI. Va ton chemin sans plus t'inquiêter!
   XXII. Pourquoi triste, ô mon âme.
   XXIII. Nê l'enfant des grandes villes.
   XXIV. L'âme antique êtait rude et vaine.
   I. O mon Dieu, vous m'avez blessê d'amour.
   II. Je ne veux plus aimer que ma mère Marie.
   III. Vous êtes calme, vous voulez un voeu discret.
   IV. Mon Dieu m'a dit: Mon fils, il faut m'aimer.
   I. Dêsormais le Sage, puni.
   II. Du fond du grabat.
   III. L'espoir luit comme un brin de paille dans l'êtable.
   IV. Je suis venu, calme orphelin.
   V. Un grand sommeil noir.
   VI. Le ciel est par-dessus le toit.
   VII. Je ne sais pourquoi.
   VIII. Parfums, couleurs, systèmes, lois!
   IX. Le son du cor s'afflige vers les bois.
   X. La tristesse, langueur du corps humain.
   XI. La bise se rue à travers.
   XII. Vous voilà, vous voilà, pauvres bonnes pensêes!
   XIII. L'êchelonnement des haies.
   XIV. L'immensitê de l'humanitê.
   XV. La mer est plus belle.
   XVI. La "grande ville". Un tas criard de pierres blanches.
   XVII. Toutes les amours de la terre.
   XVIII. Sainte Thêrèse veut que la Pauvretê soit.
   XIX. Parisien, mon frère à jamais êtonnê.
   XX. C'est la fête du blê, c'est la fête du pain.
  
   JADIS ET NAGUÈRE
   JADIS
   Prologue.
  
   SONNETS ET AUTRES
   Pierrot.
   Kalêidoscope.
   Intêrieur.
   Dizain mil huit cent trente.
   A Horatio.
   Sonnet boiteux.
   Le clown.
   Des yeux tout autour de la tête.
   Le squelette.
   Et nous voilà très doux à la bêtise humaine.
   Art poêtique.
   Le pitre.
   Allêgorie.
   L'Auberge.
   Circonspection.
   Vers pour être calomniê.
   Luxures.
   Vendanges.
   Images d'un sou.
  
   LES UNS ET LES AUTRES
   VERS JEUNES
   Le soldat laboureur.
   Les loups.
   La pucelle.
   L'angêlus du matin.
   La soupe du soir.
   Les vaincus.
  
   A LA MANIÈRE DE PLUSIEURS
   I. La princesse Bêrênice.
   II. Langueur.
   III. Pantoum nêgligê.
   IV. Paysage.
   V. Conseil Falot.
   VI. Le poète et la muse.
   VII. L'aube à l'envers.
   VIII. Un pouacre.
   IX. Madrigal.
   NAGUÈRE
   Prologue.
   Crimen amoris.
   La grâce.
   L'impênitence finale.
   Don Juan Pipê.
   Amoureuse du Diable.
  
   End of the Project Gutenberg EBook of Oeuvres complètes de Paul Verlaine,
   Vol. 1, by Paul Verlaine
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